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Patinage de vitesse
 

Le rink-hockey français ne connaît pas la crise - Le 21/03/2013 à 19:19

© AFP/Philippe Merle
Un joueur de rink-hockey s'apprête à tirer dans le but lors d'un entraînement, le 13 mars 2013 à Lyon

Le rink-hockey français profite de la crise: Espagnols et Portugais, attirés par un avenir meilleur que chez eux, tirent le niveau vers le haut, et sont majoritaires dans la sélection étrangère qui affronte l'équipe de France dans le "match des étoiles" de la Nationale 1, samedi à Lyon.

Confidentiel dans l'Hexagone, où il est souvent pratiqué dans des salles anonymes, le hockey sur patins à roulettes est très populaire dans la péninsule ibérique.

Les clubs y sont professionnels, ou semi-professionnels, et les rencontres suivies parfois par plusieurs milliers de spectateurs.

Si les Argentins, qui figurent aussi parmi les meilleurs du monde, renforçaient auparavant les équipes françaises, ils ont été remplacés peu à peu par des Espagnols et des Portugais, en difficulté économique dans leur pays. Leurs clubs de D1 ou D2 peinent désormais à les payer.

© AFP/Philippe Merle
Les patins à roulettes d'un joueur de rink-hockey, le 13 mars 2013 à Lyon

"Dans un premier temps, nous avions souvent des seconds couteaux mais le niveau de ces recrues s'améliore", explique Dan Mortreux, président du Comité national de Rink-Hockey.

"Pour l'instant, économiquement, la France présente encore un attrait pour ces garçons", souligne-t-il.

Certains ont toutefois de solides références, comme Edu Fernandez, de la Roche-sur-Yon, champion du monde en 2004 avec l'Espagne.

"Je suis en France en pensant à mon avenir, car dans les deux ou trois ans qui viennent ce sera très dur au Portugal", confie pour sa part Rui Cova, 32 ans, ancien international des moins de 20 ans, avec un titre de champion d'Europe.

"J'ai sacrifié mon niveau sportif pour ma reconversion", ajoute ce Portugais arrivé à Lyon il y a deux mois en provenance de Vasco de Gama (2e div. portugaise).

Le club lyonnais ne le paie pas, mais il lui a trouvé un emploi et un logement, comme pour ses compatriotes, le gardien Luis Mendes, Ricardo Esteves et l'entraîneur Helder Santos.

© AFP/Philippe Merle
De jeunes joueurs de rink-hockey écoutent les instructions de leur entraîneur, le 13 mars 2013 à Lyon

Embauche, logement et cours de français

Le RHCL a aussi trouvé une embauche pour leurs conjointes, fait venir leur famille et organisé les cours de français pour une rapide adaptation.

Dans quelques clubs comme La Roche-sur-Yon, Quévert-Dinan ou Saint-Omer, une minorité est totalement professionnelle.

L'entraîneur de la Roche, l'Espagnol Sergi Punset, 35 ans, explique qu'au-delà de la crise et la possibilité de trouver un emploi, "quelques très bons joueurs, comme Fernandez, voulaient avant tout tenter une expérience dans une ligue étrangère comme la France, en progrès constants, mais aussi en Suisse ou en Allemagne".

Possédant tous les diplômes, il n'était qu'assistant en Catalogne à Igualada ou à Villanova notamment (OK Liga, 1ère div. espagnole), où il était barré.

C'est dans le championnat français qu'il peut être enfin numéro un, à La Vendéenne.

"Pour nous, c'est du pain bénit. Cet apport d'Espagnols et Portugais améliore nos clubs et l'équipe de France, car nos internationaux profitent de leurs qualités, et nos résultats en Coupe d'Europe des clubs progressent", observe Dan Mortreux.

Toutefois, "si cette vague devient plus importante, il faudra protéger la sélection nationale et nos jeunes en imposant un nombre minimum de joueurs issus de la formation française", prévient-t-il.

Résultats et Champions

La reine du short track avec 6 médailles olympiques (3 titres), 15 médailles mondiales (11 titres) et 25 médailles européennes (17 titres). Championne olympique du 1 000 m en 2018 offrant à cette occasion aux Pays-Bas le premier titre de son histoire en short track. Elle conserve son titre sur 1 000 m en 2022 puis remporte le relais (les Pays-Bas deviennent ainsi la première nation non-asiatique à remporter le relais ; 2eme du 500 m et 3eme du 1 500 m et avec le relais en 2022). Championne d...
Spécialiste du short track. Vice-championne olympique du 1 000 m en 2018 (3eme du 500 m en 2018 et 2022 et du 1 500 m en 2018). Championne du monde du 500  en 2024. Six fois vice-championne du monde : au classement général en 2022 ; du 1500 m en 2019 ; du 500 m, du 1000 m, du 1 500 m et du relais en 2022 (8 autres médailles de bronze entre 2018 et 2024 dont 4 fois avec le relais). Recordwoman du monde du 500 m depuis novembre 2019 en 41s936 devenant la première femme sous la barre des 42 sec...
Spécialiste en short-track. Vice champion oympique avec le relais mixte et médaillé de bronze avec le relais 5000 m en 2022. Champion du monde du 500 m en 2023 (3eme en 2021 ; 2eme du 1500 m et du relais 5000 m en 2023 ; 2eme du 1000 m et du relais mixte en 2024 ; 3eme du 500 et 1000 m et du relais 5000 m en 2021 et du  relais mixte en 2023). Champion d'Europe du 500 et 1000 m en 2023 et 2024 (4 autres médailles d'argent et une de bronze). ...
Né d'un père chinois et d'une mère hongroise, il fait parti, avec son frère aîné Shaolin Sandor, des meilleurs patineurs en short-track. Champion olympique avec le relais en 2018 (la première médaille d'or pour la Hongrie aux Jeux Olympiques d'hiver) et du 500 m en 2022 pour devenir le premier Hongrois de l'histoire à gagner l'or olympique individuel (3eme du 100 m et avec le relais mixte en 2022, 4eme du 1500 m). Champion du monde du général en 2021 et 2022, du 500 m...
Né d'un père chinois et une mère hongroise, il est spécialiste de short track comme son frère cadet Shaoang Liu. Champion olympique du relais en 2018, le premier titre pour la Hongrie aux Jeux Olympiques d'hiver (3eme avec le relais mixte en 2022). Champion du monde du 500 m en 2016, du 1 000 m en 2021, du 3 000 m en 2016 et 2018 (2eme du général en 2018 et 2021, du 500 m en 2015 et avec le relais en 2015 et 2021 ; 3eme au général en 2016, du 3 000 m en 2021 et avec le relais en 2017...
Il s'annonçait comme une grande star après avoir gagné deux titres olympiques en 2010 à  20 ans ! Champion olympique du 1 500 m en short track en 2010 devant les favoris américains (Apolo Anton Ohno et J. R. Celski) et canadiens (Charles Hamelin). Il a établi un nouveau record olympique en demi-finale (2mn10s949). Peu après il réussi le doublé olympique après avoir gagné le 1 000 m en battant de nouveau le record olympique, en finale cette fois. Il termina 2eme avec le relais. Champion d...
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