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jeudi 28 mars 2024
Snowboard
 

Snowboard - Règlement et historique

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Snowboard 
 

dessin

 

 

 

 

Le snowboard (littéralement surf de neige) tient autant du surf, que du skateboard et du ski.

Le tout premier snowboard fut conçu par l’Américain Jack Burchett en 1929.

Historique

 

Inventé par l’Américain Sherman Popper au début des années 60/70, le ‘‘snurf’’ était un ski large et court, sans fixations et sans carres. Puis un ingénieur en aérodynamique, Dimitri Milovitch, mit au point des snowboards semblables aux surfs de mer. Il fonda avec Don Moss la “Winterstick Company” dans l’Est des USA. Utilisé sur les pentes des Rockies dans le Colorado, le snowboard (le “winterstick’’) fut introduit en 1976 en France par Henri Authier, le premier à essayer le snowboard sur le glacier de la Grande Motte à Tignes. A la même époque, l’Américain Jack Burton crée des planches à son nom qui remportent un grand succès ! Le phénomène du snowboard se propage aux USA et vers le milieu des années 80 en France. En 1985, le snowboarder Régis Roland, moniteur de ski aux Arcs fait connaître au grand public cette nouvelle forme de glisse à l’aide de ses films “Apocalypse Snow 1 et 2’’ dans lesquels il dévalait les pentes sur sa planche de surf. Le snowboard fut reconnu par le Ministère des Sports en 1996.

Les États-Unis organisent leur premier championnat en 1982 et accueillent, en 1983, les premiers Championnats du Monde. La Fédération internationale de snowboard (ISF) est créée sept ans plus tard. En 1994, la Fédération internationale du ski (FIS) fait officiellement du snowboard une discipline FIS.

 

L'International Snowboarding Federation (ISF) fut créée en 1990, pour organiser les compétitions internationales, et la Fédération Internationale de Ski (FIS) reconnaît le snowboard en 1994, le surf des neiges obtenant ainsi le statut sport olympique. C’est désormais la FIS qui régit désormais le sport.

 

Le snowboard et l’Olympisme

Le snowboard fait ses débuts olympiques aux Jeux de Nagano, en 1998, avec des épreuves de slalom géant et de half-pipe. La discipline rencontre immédiatement un grand succès et retrouve les Jeux quatre ans plus tard, à Salt Lake City, où sont organisées des épreuves de slalom géant parallèle et de half-pipe. Le snowboard cross est devenu olympique en 2006. Depuis 2014, huit épreuves de snowboard sont inscrites au programme des Jeux Olympiques : half-pipe masculin et féminin, slalom géant parallèle masculin et féminin, snowboard cross et le slopestyle masculin et féminin.

 

L’Association Française de Snowboard fondée en 1987, est la structure officielle du snowboard en France sous la tutelle de la F.F.S. Elle regroupe 3 500 compétiteurs, 6000 adhérents autour de 9 comités régionaux et 150 clubs.

 

1,5 millions de pratiquants dont 30% de femmes et 70 000 planches vendues en France !

 

Les disciplines olympiques : Snowboard cross, géant parallèle et half-pipe.

Les disciplines en Coupe du Monde : Slalom et géant parallèle, big air, half-pipe et snowboard cross.

Les disciplines des X-Games : Snowboard cross, superpipe, big air et slopestyle.

dessinCompétition

Le Snowboard se pratique, comme le surf des mers et le skateboard, sur une planche (board) et sans bâtons avec les pieds en travers de la planche. On avance et tourne à l'aide de flexions des genoux. La longueur moyenne d’un snowboard est de 160 cm pour une largeur de 25 cm au patin.

En compétition, cinq juges note sur un total de 10 points chaque entraînement. Sont pris en compte : les rotations, la hauteur d’exécution des figures, la technique et les réceptions. En finale, les riders font deux enchaînements, le meilleur est compté.

 

En snowboard, il existe quatre grandes familles qui possèdent chacune leurs types de courses :

 

 

Le freestyle

Le “half-pipe”

 

Comme son nom l'indique, les surfeurs (freestylers) effectuent des figures acrobatiques (tricks) dans les rampes enneigées (half-pipe ou demi-cylindre) semblable à celui utilisé en skate board. Il s'agit d'un demi-cylindre creusé dans la neige, long d'environ 120-130 m, avec une inclinaison de 16 à 17%. Toute la technicité de l'épreuve réside dans la capacité de l'athlète à s'élever au-dessus des murs latéraux en effectuant des figures et des acrobaties, appelées sorties ; ceci en traversant le half-pipe d'un mur à l'autre entre six et huit fois et en exploitant toute la longueur du pipe. Chaque rider a un accompagnement musical pour sa prestation.

En utilisant la vitesse accumulée sur les versants de la demi-lune, les athlètes s'élèvent au-dessus des bordures de cette demi-lune et exécutent des figures acrobatiques aériennes. Les meilleurs jaillissent à près de 3 mètres au-dessus de l'arête du mur (coping). En compétition, chaque rider présente deux runs notés par cinq juges selon cinq critères : amplitude, technicité des figures, rythme, rotations et réception. La meilleur des deux runs est retenu.

 

Les planches du half-pipe sont courtes pour réaliser des figures et larges pour améliorer l'équilibre et flexibles pour assurer une conduite en marche arrière ou en marche avant. Leurs extrémités sont relevées afin de permettre l'e,vol et l'atterrissage dans les deux directions. Les chaussures sont plus souples qu'en géant parallèle ou en cross.

 
Les qualifications et les finales des épreuves masculines et féminines de Half Pipe sont organisées à des jours différents comme deux épreuves distinctes.

Juges
5 juges pour l'impression d'ensemble. 1 juge principal qui supervise et contrôle les procédures de notation. Le total des notes des 5 juges représente la note totale. chacun juge un aspect de la prestation :
•1. évolutions droites sans rotation
•2. rotations
•3., 4, 5, évaluation globale qui prend en compte la hauteur des évolutions, leur ampleur, la qualité technique de l'exécution de la manche et les chutes éventuelles.


Qualifications
Deux manches de qualification. Les six premiers concurrents au classement après la première manche accèdent directement à la finale. Les autres concurrents participent à une seconde manche de qualification. Un tirage au sort par ordinateur est effectué pour déterminer l'ordre de départ de la première manche de qualification. L'ordre de départ de la deuxième manche est à l'inverse du classement de la première manche.

Finales
Chaque concurrent participe à deux manches. La meilleure des deux notes est conservée comme résultat final.
L'ordre de départ de la première manche est à l'inverse du classement des qualifications. L'ordre de départ de la seconde manche est à l'inverse du classement de la première manche finale.

Résultats
• Les places 1 à 12 sont déterminées par la meilleure note des concurrents sur les deux manches finales ;
• A partir de la place 13, la meilleure note de qualification (meilleure des deux manches) est prise en compte.
Ex aequo
Si deux concurrents ou plus obtiennent la même note totale, leurs deux meilleurs résultats dans la manche concernée seront pris en compte pour déterminer le vainqueur. S'ils sont toujours ex aequo, les trois meilleurs résultats seront considérés. Enfin, s'ils ne sont toujours pas départagés, ils resteront ex aequo et le concurrent avec le numéro de dossard le plus élevé sera placé en premier dans le classement.

 

 

De plus en plus de stades de snowboard, des snow parks, se créent en France comportant une zone d'initiation, une aire de jump avec des bosses de toutes tailles. On en compte actuellement 70 (parmi lesquels Avoriaz, les Angles, les Arcs, Courchevel, Grand-Bornand, Méribel Mottaret, Risoul, Saint-Lary, Tignes, Valloire, les Ménuires, les 2 Alpes, Flaine). La F.F.S. attribue un “label” spécial garantissant la qualité et la sécurité des équipements de ces stades.

 

- Le “big air”

On s’élance sur un tremplin afin de réaliser la plus belle figure qui sera notée.

L’épreuve de saut où l’on prend en compte la longueur, la hauteur et la difficulté de la figure effectuée. Cela consiste à prendre de l’élan, décoller, réaliser une figure et se poser. Dimensions de la piste : hauteur entre 1,50 et 2,50 m - longueur entre 3 et 7 m.

 

L’alpin

Les alpins utilisent des planches étroites afin de faciliter l’enchaînement des virages et des chaussures rigides pour transmettre directement la puissance à la planche.

Les différents types de courses sont :

- le slalom parallèle (ou dual) : sur une piste où sont plantés des piquets à intervalles réguliers, deux coureurs s’élancent dans des tracés identiques afin d’arriver premier en bas.

- le géant parallèle (discipline olympique depuis 2002 remplaçant le géant en deux manches présent aux J.O. de Nagano en 1998) : en deux manches, deux surfeurs descendent simultanément deux pistes parallèles (même configuration) afin d’effectuer le meilleur temps.

Dans ces deux disciplines ils s’affrontent tour à tour sur le tracé de droit et celui de gauche. Lors de second passage, le meilleur des deux partira avec l’avance obtenue lors de la première manche. Le parcours du géant est plus long ; les portes sont espacées de 20 à 25 m pour le géant et de 10 à 15 m pour le slalom.

Dénivelé : entre 80 et 120 mètres – minimum 20 portes séparées de 11 à 13 mètres.

 

Slalom géant parallèle

Dans le slalom géant, deux concurrents descendent simultanément sur la même piste, en suivant des parcours parallèles marqués par des portes respectivement bleues (parcours de droite) et rouges (parcours de gauche). Les tracés, la configuration du terrain et la préparation de la neige doivent être autant que possible identiques. La dénivellation entre le départ et l'arrivée est comprise entre 120 et 200 m.
Les qualifications et les finales des épreuves masculines et féminines de slalom géant parallèle sont organisées à des jours différents comme deux épreuves distinctes.

Qualifications
Chaque concurrent descend une fois le parcours rouge et une fois le parcours bleu. Lors de la première manche, les numéros de dossards impairs prennent le parcours rouge, les numéros de dossards pairs le parcours bleu. L'ordre de départ de la manche éliminatoire est à l'inverse des résultats de la première manche. Tous les athlètes ayant terminé la manche de qualification participent à la manche éliminatoire. Ils prennent le parcours opposé à celui descendu dans la première manche.
Les 16 premiers concurrents au classement des temps cumulés (première et deuxième manche) se qualifient pour les finales. Dans le cas d'un ex aequo pour la 16e place, les concurrents participent immédiatement à une manche supplémentaire organisée sur le parcours rouge.

Finales
Les finales sont divisées en six phases : huitièmes de finale, quarts de finale, demi finales, classement de la 5e à la 8e place, petite finale et finale. Chaque paire de concurrent effectue deux descentes, une sur chaque parcours (rouge et bleu) lors de rencontres à un contre un. Le temps pris en compte est l'écart entre le premier concurrent passant la ligne d'arrivée et le second. Pour la deuxième manche, la porte de départ s'ouvre en fonction de l'écart de temps du concurrent battu dans la première manche. Un concurrent forfait ou sorti de piste dans la première manche commencera la deuxième manche avec un temps de pénalité. Le temps de pénalité représente quatre pour cent (1,5 seconde maximum) du meilleur temps de qualification (respectivement masculin et féminin). L'écart de temps maximum ne peut dépasser le temps de pénalité. S'il y a ex aequo dans la première manche, le vainqueur de la deuxième manche est automatiquement qualifié. S'il y a ex aequo après deux manches, le concurrent possédant le meilleur temps passe au tour suivant. Si les concurrents sont ex aequo dans les deux manches, celui possédant le meilleur temps de qualification passe au tour suivant. Dans la seconde manche, si les deux concurrents sont disqualifiés ou sortent de la piste, le concurrent qui a passé le plus de portes est qualifié pour le tour suivant.

Résultats
Les temps de qualification déterminent le classement à partir de la 17ème place. Les temps établis à la suite des seize huitièmes de finale décident des places 9 à 16. Le tour de consolation qui suit les quarts de finale déterminera le classement des places 5 à 8. La petite finale décide de la quatrième place et du médaillé de bronze et la finale des médaillés d'or et d'argent.

Le boardercross 

Très spectaculaire, c’est du gymkhana sur neige sur un parcours jonché d’obstacles (bosses ou ‘whoops’, virages relevés et tremplins) et de courbes. Quatre surfeurs s'affrontent sur une piste comportant virages relevés et bosses. Les deux premiers se qualifient pour le tour suivant.

 

Dimensions de la piste : longueur environ 1000 m pour une largeur de 30 m. Le départ de la piste est situé à une hauteur d'environ 220 mètres. Le tracé doit contenir 4 différentes sections à savoir des virages, de la vitesse, des sauts et au moins une large portion permettant de doubler. Les différents obstacles : tables, tunnels, whoops, virages relevés.

 


L'épreuve a fait ses débuts olympiques à Turin en 2006. Le parcours, dessiné et construit par un shaper (traceur) se compose de plusieurs sections : whoops (bosses), waves (vagues), banks (plans inclinés), kickers (sauts) et spine (sauts avec sortie à 90°). Le tracé est délimité par des portes directionnelles triangulaires bleues et rouges qui indiquent à la fois le parcours à suivre et les obstacles.
Les finalistes sont répartis en séries de quatre concurrents qui descendent simultanément sur le même parcours. Les deux premiers d'entre eux peuvent participer au tour suivant, et ainsi de suite jusqu'à la finale qui conduit au podium.

Les qualifications et les finales des épreuves masculines et féminines de Snowboard Cross sont organisées à des jours différents comme deux épreuves distinctes.

Qualifications
Chaque concurrent participe à deux manches de qualification. Si le nombre de participants est inférieur ou égal à 31, les 16 premiers au classement se qualifient pour les finales. Si 32 athlètes ou plus sont inscrits, les 32 meilleurs athlètes se qualifient pour les finales. La meilleure des deux manches détermine le temps de qualification.

Finales
En application du règlement de la FIS, les athlètes qualifiés pour les finales sont divisés en groupes de quatre athlètes (séries).
Les numéros de dossard dans les finales correspondent aux classements des athlètes dans les qualifications.
Les athlètes choisissent leur position au départ pour chaque série de finale selon l'ordre de leurs numéros de dossard. L'athlète possédant le meilleur temps de qualification de la série choisit donc le premier (numéro de dossard le plus bas), le deuxième choisit en second, etc.
Au départ, les couleurs suivantes sont assignées aux positions (de gauche à droite, face à la pente) : noir, jaune, rouge, bleu. Chaque athlète porte un dossard de la couleur correspondant à sa position.

Finales avec 16 athlètes ou moins :
elles comprennent des quarts de finale (4 séries), un repêchage des quarts de finale (Second Round Qualifier = 2 séries), des demi-finales (2 séries), une série de classement de la 13ème à la 16ème place, une série de classement de la 9ème à la 12ème place, une petite finale (classement de la 5ème à la 8ème place) et une finale (classement de la 1ère à la 4ème place).
Les vainqueurs des quarts de finale se qualifient directement pour les demi-finales. Les athlètes classés 2ème et 3ème dans les quarts de finale se qualifient pour le repêchage. Les athlètes se classant à la 4ème place se qualifient pour la série de classement de la 13ème à la 16ème place. Les deux meilleurs athlètes de chaque repêchage se qualifient pour les demi-finales. Les athlètes arrivant en 3ème et 4ème places dans les séries de repêchage se qualifient pour la série de classement de la 9ème à la 12ème place.
Les deux meilleurs athlètes de chaque demi-finale se qualifient pour la finale (médailles). Les athlètes se classant 3ème et 4ème dans les demi-finales se qualifient pour la petite finale (de la 5ème à la 8ème place).

Finales avec 32 concurrents :
elles comprennent des huitièmes de finale (8 séries), des quarts de finale (4 séries), un repêchage des quarts de finale (2 séries), des demi-finales (2 séries), une série de classement de la 13e à la 16e place, une série de classement de la 9ème à la 12ème place, une petite finale (classement de la 5ème à la 8ème place) et une finale (classement de la 1ère à la 4ème place).
Les deux meilleurs athlètes de chaque huitième de finale se qualifient pour les quarts de finale. Les athlètes se plaçant aux 3e et 4e places sont classés selon leurs résultats de qualification. Les vainqueurs des quarts de finale se qualifient directement pour les demi-finales. Les athlètes se plaçant aux 2ème et 3ème places en quarts de finale se qualifient pour les deux séries de repêchage. Les athlètes en 4e place se qualifient pour la série de classement de la 13ème à la 16ème place. Les deux premiers athlètes de chaque série de repêchage se qualifient pour les demi-finales. Les athlètes se plaçant aux 3ème et 4ème places dans les séries de repêchage se qualifient pour la série de classement de la 9ème à la 12ème place.
Les deux meilleurs de chaque demi-finales se qualifient pour la finale (médailles). Les athlètes se plaçant en 3ème et 4ème places dans les demi-finales se qualifient pour la petite finale (de la 5ème à la 8ème place).

 

Le Slope-style est une combinaison de tous les modules du snow-park.

Le slopestyle peut être pratiqué tant en ski qu’en snowboard. Dans une piste jonchée de gros obstacles en neige (tremplins, bosses) ou en métal (barres, rampes) appelés modules, chaque concurrent tente d’effectuer les figures les plus acrobatiques possibles sous les yeux de juges qui évaluent le style et la qualité des figures en fonction de leur difficulté et leur variété. Trois phases : qualifications, demi-finales et finale. À chaque fois, seul le meilleur des deux scores est retenu.Les athlètes sont notés à la fin du parcours d'environ 655m composé de rails et de divers tremplins tandis qu’ils combinent des grands sauts et des figures techniques en un passage. L'épreuve se déroule en deux manches. Le meilleur score des deux manches compte donc pour le classement final. C'est la dernière discipline en snowboard devenue sport olympique, en 2014.

 

Le Free-ride

Le Free-Ride se pratique dans la poudreuse (à mi-chemin entre la vitesse et les figures). Les planches sont plus longues (165 cm), rigides (pour ne pas se casser après avoir sauté une barre rocheuse), relevées et arrondies aux extrémités.

Les lieux de prédilection des freeriders sont :

Whistler Mountains au Canada, l’Alaska, Chamonix et Verbier qui accueille chaque année la plus grande course de freeride d’Europe.

Parmi les meilleurs free-riders du moment figure le Français Antonin Lieutaghi, vainqueur de nombreuses compétitions prestigieuses de freeride et d’extrême aux 4 coins du monde.

 

Lexique

180° (180 air) : Figure aérienne en demi rotation, à 180 degrés.
360° (360 air) : Figure aérienne en rotation complète, à 360 degrés.
540° (540 air) : Figure aérienne en rotation et demie, à 540 degrés.
720° (720 air) : Figure aérienne en double rotation, à 720 degrés.
900° (900 air) : Figure aérienne en double rotation et demie, à 900 degrés.

1260° (1260 air) : Figure aérienne en rotation de trois tours et demi.

1440° (1440 air) : Figure aérienne en rotation de quatre tours (seul le Finlandais Markku Koski, médaillé de bronze olympique half-pipe en 2006, a réussi cette figure en compétition).

Aerial    : saut de demi-lune

Backside : surfeur ayant le dos tourné vers la pente.

Baggy : pantalon très large porté par le surfeur dans les années 90/95.

Big air : saut en hauteur

Bipède : un skieur dit “classique”.

Board : planche de surf.

Boarder Cross : parcours avec virages, tremplins et bosses.

Carving : style qui consiste à faire des virages coupés sur une neige damée.

Courbe : virage

Contest : compétition

Coping : l’arête supérieure du half-pipe

Double tip : la planche du “free-style” qui est plus large et munie de deux spatules à l'avant et à l'arrière (fixations et chaussures sont souples).

Double McTwist 1260 : Figure inventée par l'Américain Shaun White (il est le seul à la réussir) qui consiste d'un double flip arrière avec deux tours et demi sur lui-même.

Fackie : marche arrière.

Flat : la pratique acrobatique sur une piste damée donc lisse.

Free-Ride : pratique du surf hors piste en poudreuse. La planche utilisée est plus spatulée et longue.

Free-Style : effectuer (voler, sauter) des figures sur les murs d’un half pipe (demi tube de neige, 100 m de long et 2 m de haut).

Frontside : surfeur face à la pente.

Goofy : surfeur avec le pied droit en avant sur la planche.

Grabber : attraper la planche avec une main quand on réalise une figure ou un saut.

Half pipe : rampe de neige aménagée pour effectuer des sauts et figures d'une longueur de 100 m sur 3 m de haut et d'une douzaine de mètres de largeur (demi tube).

Hakon 720° : rotation de deux tours avec la tête en bas.

Hakon 1080° : rotation de trois tours tête en bas avec le pied droit devant.

Hip : petite bosse pour des sauts en hauteur.

Indy : attraper (grabber) avec la main arrière entre la pointe des pieds.

Invert (inversion) : une figure de half-pipe faite avec la tête en bas, plus basse que la planche.

Jump : saut.

Killer : un surfeur très fort techniquement.

Leash : système d’attache reliant la fixation à la jambe du snowboarder.

Mac Twist : saut périlleux avant avec vrille

Module Contest : compétition de free-style qui se déroule sur un terrain avec beaucoup d’obstacles.

Nose : l’avant d’une planche.

Nose grab : prise de spatule

Patin : le milieu d’une planche.

Peuf : poudreuse.

Quater : un obstacle qui a la forme d’un virage relevé.

Regular : position sur la planche avec le pied gauche en avant.

Rider : surfer.

Rider : surfeur (free-rider) dans la poudreuse (hors piste).

Rodéo 1080° : rotation de trois tours avec la tête en bas.

Rotation : faire des tours avec sa planche à 180°, 360°, 540°,….

Run : enchaînement

Sad : un grab de la main avant entre les talons.

Slide : glisser sur un obstacle qui n’est pas naturel.

Snow Park : piste réservée pour la glisse.

Straight jump :saut en position verticale

Super Combo : l’enchaînement de deux Hakon 1080°

Switch Stance : figure réalisée en inversé. Par exemple : changer d'un “goofy” à un “regular”'.

Tail : l’arrière d’une planche.

Trick : une figure en général.

Whoops : succession de petites bosses.

 .

Une grande première ! En mai 2001, le français Marco Siffredi (1979-2002) est le premier surfeur à avoir réussi la descente de l'Everest en snowboard et cela par la voie nord ! En septembre 2002, il est porté disparu en tentant une nouvelle descente du sommet de l’Everest par un couloir différent.

 

Equipement

Les casques : Dans les trois disciplines olympiques du surf des neiges, les athlètes doivent porter des casques protecteurs en plastique rigide pour réduire les risques de blessures à la tête.

La planche : Les planches de slalom géant parallèle sont rigides et étroites, ce qui est souhaitable pour effectuer des virages à haute vitesse. Les planches de SGP sont généralement plus longues qu'une planche ordinaire et ont un talon carré et une spatule peu relevée.
Les planches de demi-lune sont courtes pour effectuer des figures, larges pour améliorer l'équilibre et flexibles pour permettre une conduite en marche arrière et en marche avant. Les extrémités avant et arrière de la planche sont relevées pour permettre l'envol et l'atterrissage dans les deux directions.
Les planches de snowboard cross sont un peu un amalgame des planches de course SGP et des planches de surf acrobatique de demi-lune; une planche tout-terrain/toute montagne. La planche est longue pour la conduite coupée (longueur 150 à 195 cm), largeur 18 à 20 cm), rigide pour la stabilité et généralement directionnelle. De façon générale, les planches SBX ressembleront plutôt aux planches acrobatiques que les planches de course.

Les bottes : En slalom géant parallèle, les bottes de course ont une coque extérieure en plastique rigide, semblable aux bottes de ski alpin, et un renfort pour maintenir le pied et la cheville.

Les athlètes de demi-lune utilisent des bottes souples avec un renfort pied et cheville et des chaussons intérieurs qui se lacent.

La plupart des surfeurs de snowboard cross portent des bottes qui sont un peu une hybride - plus rigides que les bottes de demi-lune, mais plus souples que les bottes de course. Certains athlètes préfèrent porter des bottes de course rigides.

Les fixations : Les fixations en slalom géant parallèle sont semblables à celles en ski alpin - la botte rigide est attachée fermement à la planche.

En demi-lune, les bottes sont attachées à la planche utilisant des fixations souples.
Les fixations en snowboard cross varient selon la sorte de botte utilisée. Les bottes souples sont fixées à la planche utilisant des fixations souples, tandis que les bottes rigides sont fixées fermement à la planche comme en SGP.

 

 

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Johnstone-Nathan
Jörg-Selina
Kaltschultz-Stefan
Karl-Benjamin
Kelly-Craig
Kim-Chloe
Kleveland-Marcus
Kober-Amelie
Korpi-Janne
Kosir-Dejan
Kosir-Zan
Kotsenburg-Sage
Kreiner-Marion
Krings-Doresia
Kroschewski-Bernd
Kummer-Patrizia
Ledecka-Ester
Leisibach-Ruth
Liu-Jiayu
Loginov-Dmitry
Maegert- Kohli-Fraenzi
Mair Unter des Eggen-Dagmar
Malin-Markus
Maltais-Dominique
March-Aaron
Marguc-Rok
Mattila-Risto
McMorris-Mark
Meuli-Daniela
Michaelis-Jan
Moenne Loccoz-Nelly
Moioli-Michela
Nadyrshina-Sofia
Neilson-Drew
Neururer-Heidi
O\'Brien-Spencer
Ogiwara-Hiroto
Olafsen-Helene
Onitsuka-Miyabi
Parini-Margherita
Parrot-Max
Pederzolli-Nicola
Pereira de Sousa-Julia
Pesko-Manuela Laura
Pichler-Peter
Piiroinen-Petja
Plawczyk-Edmond
Podladtchikov-Iouri
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Posch-Marion
Powell-Darren
Powers-Ross
Pramstaller-Helmut
Prommegger-Andreas
Prugger-Thomas
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Ramoin-Tony
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Riegler-Manuela
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Rodriguez-Sophie
Rohrer-Fabien
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Sauerbreij-Nicolien
Schairer-Markus
Schoch-Philipp
Schoch-Simon
Siffredi-Marco
Simmen-Gian
Smits-Seppe
Sobolev-Andrey
Sterner-Fredrik
Sterner-Magnus
Su-Yiming
Teter-Hannah
Thost-Nicola
Thovex-Mirabelle
Tonteri-Roope
Totsuka-Yuto
Toutant-Sébastien
Trespeuch-Chloé
Tudegesheva-Ekaterina
Van Ert-Sondra
Vaultier-Pierre
Vidal-Doriane
Wehr-Hasler-Sabine
Wescott-Seth
White-Shaun
Wild-Vic
Zavarzina-Alena
Zebrowski-Gary
Zogg-Julie
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